Je suis clairement en plein doute sur le sens que je donne à ma mission pour la première fois en 15 ans d'exercice quels que soient les publics auxquels j'ai enseigné. Jusqu'à quand? 5.00 (25) 40€/h. Je ne pense que l'examen doive être le moteur de l'apprentissage. Quant à ce commentaire, là aussi nous sommes en peine : a priori il s’agira d’un texte lié à l’objet d’étude. Les livres, des sites web, vos fiches, les sujets du CRPE et diverses ressources utiles pour le CRPE.

Le retour de l'étude de la langue est vraiment nécessaire, mais nous n'avons pas assez de temps pour bien faire. Si vous n'avez pas trouvé de réponse à votre question, donnez un titre explicite à votre message : évitez les "Urgent ! A voir également: Film d'amour sur une élève et son professeur; Une prof tombe amoureuse d'un élève film - Forum - Cinéma / Télé; Film prof qui tombe amoureux de son eleve - Forum - … Par exemple, pour la littérature d'idées, comment peut-on estimer qu'un texte écrit il y a plusieurs siècles peut être le support d'une réflexion sur notre monde ? On nous demande de faire beaucoup d’explications de textes cette année, avec une analyse d’œuvre intégrale (et une réflexion sur un parcours associé) qui se veut plus poussée qu'auparavant. Ils estiment que c’est trop de travail pour un résultat incertain. Tour ceci est anxiogène pour les élèves comme pour les profs.L'obligation de lecture linéaire sur 20 lignes à l'oral est stupide, sclérosante et peu respectueuse de la spécificité de chaque texte, et au final peu propice à développer une réelle appétence pour la littérature. J'aime aussi transmettre mon amour de la lecture, de la langue. Il a pour but de leur permetre d'établir des contacts entre eux, Informations et discussions diverses sur le concours de professeur des écoles : sujets, mémoires, fiches, création de groupes de travail, etc. Histoire, géographie, histoire des arts, au concours de recrutement de professeurs des écoles. Sujets Réponses Vues Derniers Messages . Du coup, l'enseignant se sent accablé et travaille en permanence dans l'urgence, ce qui n'est pas confortable et qui est préjudiciable, car la réflexion didactique ne se fait pas correctement. L’oral parait bradé : on demande aux élèves du « par cœur » et non une remobilisation des savoirs, on évaluera donc la capacité de mémorisation de l'élève au détriment d'une réelle réflexion (nous allons donc créer une génération de perroquets n'ayant plus besoin de réfléchir...). Je suis inscrite sur plusieurs forums et groupes de travail en ligne, je profite donc du travail des collègues qui partagent, des réflexions, et de retours sur leurs propres réflexions. On se sent à la fois prisonniers de ces programmes (aussi injonctifs qu'ambitieux) et hypocrites. Il y a énormément de pression : certains établissements pratiquent du pur bachotage, certains professeurs fournissent toutes les explications rédigées aux élèves, ils n’ont plus qu’à apprendre par cœur. Finalement, un autre IPR a affirmé depuis qu'ils ne seraient pas interrogeables sur les autres textes vus en classe : comment ne pas passer pour des incompétents face aux élèves alors que c'est l'institution qui est défaillante ?J'étais tellement épuisée il y a deux ans que mon corps m'a lâché : hors de question que cela recommence ! Pour octobre, la prof de français a demandé à ce qu'on achète "Le secret des templiers" de Brigitte Heller-Arfouillère. Cette année, j'ai sur ce niveau une dizaine d'élèves que j'avais l'an dernier en seconde. Le manque de sens que ces programmes donnent à notre enseignement est criant : pour l’enseignant, comme pour les élèves.

»« Je me sens découragée. Tu m'enseignes, je me souviens. Pour l'enseignement de spécialité HLP, les professeurs se sentent complètement isolés, aucun accompagnement n'est prévu, les ressources sont quasi inexistantes à part les maigres annales zéro.

D’autre part les élèves décident très vite que « la dissertation, ce n’est pas pour eux » : en effet, beaucoup ne liront pas les œuvres de façon intégrale ; ils rejettent d’emblée cet exercice qui porte sur une œuvre. J'ai aussi acheté quelques ouvrages de type Atlande pour prendre des idées pour préparer mes cours. Nous ignorons si la dissertation portera uniquement sur l’œuvre ou si elle associera œuvre et parcours. La formation aura lieu mi novembre. Je ne suis plus en mesure de répondre à leurs questions et dans mon enseignement, la quantité doit primer sur la qualité. Que pouvais-je faire d'autre?En tant qu'enseignante, je me suis toujours perçue comme un des adultes ressources pour des jeunes en construction. est ridicule. Ou encore pour la question de grammaire : les quelques exemples sur Eduscol ne sont pas assez précis : sur une question du type « étudier la négation de telle phrase », qu’attendre de l’élève s’il ne peut pas se rattacher au sens ? La grammaire demande aussi du temps. Tout d'abord d'un point de vue pratique, la constitution de groupes de spécialités qui éclatent le concept de "classe" à conduit à des emplois du temps aberrants, pour les élèves et pour les enseignants. » En somme, un effet d'annonce. Sinon, j'aimerais qu'il lise un peu plus. On ne peut plus tenter de faire des activités ludiques autour des textes : pas le temps. Ils ne devraient pas avoir à choisir entre un cours de français et une conférence prestigieuse et enrichissante. Les épreuves de langue au concours de recrutement de professeurs des écoles : langues vivantes étrangères et langues régionales. Je manque également de temps pour travailler les nouveaux exercices comme la contraction de texte (que les élèves n'ont pas vue en seconde). Ils voulaient se rassurer.