Les captifs des cirques eux se retrouvent à vivre dans un minuscule box, le plus souvent entravés par une chaîne à la patte avant, parfois seul sans aucun contact possible avec un autre membre de leur espèce. En outre, on ne soigne pas le mal par le mal et jamais un animal sauvage, qu’il soit né en captivité ou pas, ne sera heureux dans une cage. . Ce sont les seuls mouvements que permettent leurs entraves et c’est pour ces animaux l’unique moyen d’évacuer une partie de la frustration provoquée par ces conditions de vie sordides.

Pour des raisons de sécurité, et de tranquillité pour les animaux, il est interdit de rentrer dans les prés, bâtiments ou chatteries. Les cirques bénéficient de passes droits et de subventions qui ne se justifient en aucune manière et ils en profitent. Bref ces animaux intelligents et sensibles subissent un véritable calvaire, même lorsqu’ils ne sont pas sur la piste. Out of these cookies, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. Le zoologue Fred Kurt va jusqu’à considérer que les mouvements stéréotypiques de l’éléphant peuvent s’apparenter à la folie humaine.Associé aux difficultés que rencontrent les autorités pour contrôler les installations des cirques, des accidents ne peuvent que se produire. Et qui de mieux que ceux l’ayant pratiqué pour en parler ? Il est d’ailleurs surprenant de savoir que si les parcs zoologiques recueillent rarement les animaux des cirques, la réciproque n’est pas toujours vraie et certains zoos n’hésitent pas à vendre des animaux sauvages à des cirques, sachant pertinemment les conditions de vie et de dressage qu’ils se verront offrir. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website.This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. Certains dresseurs repentis ont d’ailleurs levé le voile sur la vérité.
Elles finiront généralement leurs jours dans les « quartiers d’hiver » des cirques où les conditions de vie ne sont pas plus enviables, prisonnières et en souffrance jusqu’à leur mort. Il arrive également parfois que les circassiens lèvent le camp en laissant sur place les animaux à faible valeur marchande dont ils ne veulent plus. En outre, on ne soigne pas le mal par le mal et jamais un animal sauvage, qu’il soit né en captivité ou pas, ne sera heureux dans une cage. Certes, l’arrêté de 2011 vient contraindre les cirques itinérants à avoir des cages dites de détentes pour leurs animaux lorsqu’ils s’établissent quelque part, mais d’une part tous ne se sont pas donnés la peine de s’en doter ou même de les installer lorsqu’ils en ont, d’autre part ces cages d’à peine quelques mètres carrés demeurent une prison bien trop petite pour les captifs qu’elles renferment. Dans cette démarche, il est très important d’être soi-même bien documenté sur les conditions de vie et de dressage des animaux dans les cirques mais aussi au niveau de la réglementation. Car les paillettes dissimulent la réalité à laquelle doivent faire face les animaux dans les cirques. Toute la ménagerie est alors trimballée dans le noir, durant de très longues heures, subissant les cahots de la route, le bruit du trafic, l’odeur de l’essence et les conditions climatiques parfois extrêmes.Dans ces conditions comment ne pas devenir fou ?


Il faut trouver mieux chaque fois. En outre, ce caractère itinérant rend les contrôles très difficiles. Et cela perdurera tant que les cirques avec animaux vendront des billets.Fauves sautant dans un cerceau en feu, éléphants debout sur les pattes arrières ou en position assise, ours qui dansent vêtus d’habits ridicules, chimpanzé affichant un rictus de terreur que le dresseur fait passer pour un sourire… Tout est bon pour amuser un public naïf, et les dompteurs parviennent habilement à faire croire que l’animal obéît par plaisir.Mais comment pensez vous que l’on parvienne à faire prendre des postures douloureuses et contre-nature à des animaux qu’ils soient sauvages ou pas ? Malheureusement beaucoup de parents emmène encore leurs enfants au cirque en ne pensant pas à mal.

Les animaux trop vieux pour continuer à être utilisés sont tués et vendus, lorsque c’est financièrement intéressant, à des taxidermistes. Bref ces animaux intelligents et sensibles subissent un véritable calvaire, même lorsqu’ils ne sont pas sur la piste. Pourtant rares sont les contrôles conduisant à une saisie des animaux. C’est là qu’ils vont passer le plus clair de leur temps à ne rien faire d’autres qu’attendre. En effet, cirques et zoos ont la plupart du temps des intérêts opposés et depuis les années 80 et l’arrivée des programmes d’élevage en vu de la réintroduction des animaux dans leur milieux naturel, il n’y a quasiment plus d’animaux de cirque dans les zoos pour les raisons vues précédemment. L'association critique le manque de contrôle du traitement et de la circulation de ces animaux sauvages dans les cirques en France, et se bat pour l'arrêt de l'exploitation animale. Ce sont là des trucs nécessaires pour dissimuler les cruautés du métier.

Il ne faut d’ailleurs pas oublier que les cirques ont à leurs débuts grandement participé à piller la nature de ses animaux sauvages.

Enfermés dans des cages souvent trop petites pour répondre à leurs besoins physiologiques et n'ayant plus aucun lien avec leurs congénères, les animaux sauvages dans les … Paul Leroyer, ancien dompteur parlait même du dressage en ces termes : « On torture les animaux à des fins lucratives. Ils ne peuvent même pas se coucher. But opting out of some of these cookies may have an effect on your browsing experience.Aidez la Fondation !

La France dispose d’une réglementation relativement rigoureuse en matière de protection et de détention des animaux. Ils parcourent une vingtaine de kilomètres quotidiennement. La France dispose d’une réglementation relativement rigoureuse en matière de protection et de détention des animaux.