Je l’ai partagé sur tous mes réseaux. Merci beaucoup pour cet article ! Experte en cuisine saine, gourmande et végétarienne. Comme je te l’ai dit sur Snapchat, ton article arrive à point nommé. Je ne suis pas encore végétarienne mais en cheminement.

Nous ne pouvons pas évoluer vers une société meilleure sans agrandir notre cercle de considération morale aux animaux ; tout comme nous avons évolué en abolissant l’esclavage, en donnant le droit de vote aux femmes, etc.
Très bel article ! C’est pas idéal mais on est tous en work in progress ;)Ton article est tout bonnement excellent. Et j’angoisse à l’idée de devoir éplucher une carotte ou une courgette car je n’ai aucune idée de solution pour minimiser la souffrance que j’inflige. Maintenant le changement s’opère, je ne compte plus les propositions végétariennes dans les restaurants ou dans les supermarchés. Un changement brutal m’effraie car je sais qu’ils ne sont pas pérennes alors je m’emploie à me tourner progressivement vers ce mode d’alimentation en réduisant ma consommation le temps d’apprendre à cuisiner et utiliser les alternatives qui font de l’alimentation vegeta*ienne bien équilibrée une alimentation complète, raisonnée et compatible avec certains points de ma santé (nous ne tolerons pas tous de la même façon ces alternatives sur le plan digestif). Je vais même le relire !Merci beaucoup pour cet article bien documenté et très intéressant ! This isn’t just me speculating either, British ‘eco warrior’ Simon Fairlie famously argued that rearing livestock is OK—I admit this isn’t much of a point.

Par exemple, le fait de pouvoir abattre les animaux à leur poids maximal, ainsi que de conserver les gras animaux (fromages, beurre, …) pour une consommation à l’année longue sont des innovations du néolitique, auxquelles nous nous sommes que très peu adaptés, le laps de temps étant très court d’un point de vue évolutif. Je suis contente de voir de plus en plus d’articles et vidéos passionnants et tolérants au sujet du végétarisme sur la blogosphère, on dirait que ça progresse lentement mais sûrement dans les mentalités :)Merci Camomille pour ton commentaire :) Moi aussi je suis tombée des nues en apprenant que des animaux été élevés pour la chasse (enfin, je le savais pour les faisans mais pour eux seulement)… Tu n’imagines pas comme ça m’a agacée quand j’ai été me promener récemment dans une forêt près de chez moi dans le 77 et que j’ai croisé un panneau indiquant l’ouverture de la chasse « dans le but de réguler les espèces car il n’y a plus assez de prédateurs »… LOL DE FEU. Si ma petite maman m’a simplement dit « j’attendais simplement le moment où tu prendrais cette décision » (je n’ai jamais aimé la viande et me suis toujours révoltée pour les conditions de vie et d’abattage des animaux d’élevage), j’ai eu à faire face jusque dans ma famille à de l’incompréhension, des moqueries voire de la colère. Je suis une végétarienne de cœur et mes arguments passent souvent pour naïfs aux yeux de mes détracteurs !Article bien trop binaire (un comble quand on accuse les autres de puérilité), qui semble davantage occupé à donner des leçons et désigner des coupables qu’à faire avancer le débat…Merci Fanny ! Ca répond à toutes les questions que l’on peut avoir au quotidien de la part d’omnivores.

Le problème pour les personnes soucieuses de la cause animale réside principalement dans le fait que:Sinon personnellement je comprends tout à fait que ce ne soit pas la bataille de tout le monde. « Pasvego expliquait que c’est une question de morale, que la morale varie […] » Dans le cadre des animaux, on sait qu’ils ressentent tout autant la souffrance que nous, qu’ils sont capables de nouer des liens, de transmettre des savoirs, d’avoir des interactions riches avec leurs congénères et leur environnement, etc. Il est nécessaire d’abandonner au maximum les produits animaux.J’aimerais signaler une petite erreur (peut-être signalée dans les commentaires mais ceux-ci sont trop nombreux pour que je vérifie): Néandertal n’est pas notre ancêtre, il faudrait plutôt parler de Cro-Magnon.A part ça, au sujet du point 5, il est facile de contrer cet argument: certaines études tendent effectivement à démontrer que les arbres communiquent entre eux, s’entraident, protègent leurs rejetons et « ressentent » peut-être des « émotions ». Et pour assimiler les protéines végétales « à la façon » des animales, il suffit de respecter certaines proportions entre céréales et légumineuses, par exemple.

Donc, cet argument suffit déjà de balayer d’un coup de main rapide cette critique. Je ne vois pas pourquoi on devrait s'opposer les uns aux autres. Je m’étais dit en lisant ton commentaire la première fois qu’il faudrait que je te réponde tout de suite et puis j’ai oublié, mea culpa :( En tout cas, je trouve ton idée de traduction en anglais super. Pour quoi ?


I thought a high protein, lean meat only diet would kill you.