Elles concernent principalement le Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Or statistiques à l’appui, les concernés n’ont plus contracté d’assurances et n’ont plus donné signe de vie auprès de la Mutualité et il est facile de supposer que les vaches ont fini dans les abattoirs ou revendues à des tiers.Pourtant, selon nos sources, la Caisse de mutualité agricole a indemnisé cette dernière catégorie d’éleveurs pour leur permettre de renouveler leur cheptel et le sauvegarder, à hauteur de 1,21 milliard de centimes en 2017 pour la mortalité de 91 têtes et 1,24 milliard pour 99 têtes en 2018.Par ailleurs, il est à noter que la Caisse nationale de la mutualité agricole dont la vocation n’est pas lucrative, a accordé de nombreuses mesures de soutiens et de facilitations aux investisseurs dans cette filière, à savoir une réduction sur les contrats d’assurance de 40% pour les éleveurs sociétaires, et 25% pour les jeunes investisseurs avec des paiements échelonnés, l’aimant gastrique (une barrette aimantée posée dans l’estomac de l’animal (pour retenir d’éventuels éléments métalliques avalés par la bête) et un suivi sanitaire à titre gratuit, une indemnisation à hauteur de 90% du prix de l’animal en cas de perte en plus du soutien accordé pour l’insémination artificielle, en plus aussi des multiples campagnes de vulgarisation en direction des jeunes éleveurs, organisées périodiquement par les services de la DSA.A toutes ces mesures incitatrices, une prime de 50 000 DA est octroyée aux éleveurs pour chaque tête dont la durée de vie atteint les 18 mois.Par contre les éleveurs professionnels, jaloux de leurs cheptels et conscients, sont restés fidèles à l’assurance.
accéder à tout le contenu du site) Le volet élevage avicole devrait représenter moins d'un quart-temps en régime de croisière. Pour l’heure, selon le président de la filière lait et du vice-président du CIF (Conseil interprofessionnel de la filière), sur les 5 109 éleveurs restants, seuls 93 peuvent être considérés comme éleveurs professionnels producteurs de lait.On indique qu’il existe 3 catégories d’éleveurs, en fonction du nombre de V L qu’ils possèdent, à savoir ceux qui détiennent plus de 100 VL et ils sont seulement 2 ou 3, ceux qui possèdent 10 à 50 VL (0,4%), et le reste moins de 10 VL et ils sont les plus nombreux (82%) et dont le lait produit est autoconsommé ou vendu en petites quantités à des crémeries.Durant l’année 2017-2018, il a été enregistré une production laitière estimée à 20,80 millions de litres répartie en 39% pour l’autoconsommation, 15% pour les crémeries, 22% pour les veaux et seulement 24% destinés à la collecte pour les unités de transformation.Cependant, il faut noter que 101 étables et 27 bergeries, relevant des ex-DAS (Domaines autogérés socialistes) implantés dans des communes comme Aïn Soltane, Djendel et autre Djelida sont dans la majorité en train de se dégrader et quelques-unes seulement en activité mais sous-exploitées, nécessitant d’importants travaux de réaménagement.Il y a aussi une autre catégorie qui est venue se greffer à l’élevage bovin, catégorie qui s’est constituée par l’intermédiaire des dispositifs de soutien, à savoir, l’Ansej, la Cnac, l’Angem. Poursuivez la lecture de cet article
La wilaya de Souk Ahras compte un cheptel bovin de 96.000 têtes dont 52.000 vaches laitières ayant produit, l'année dernière, plus de 96 millions de litres, dont 35 millions de litres collectés. Celles en manque de poids ou de finition sont délaissées par les acheteurs.Cette semaine, les volumes, bien qu’un peu plus fournis, demeurent très modérés.

La production de Les parcours de la steppe, qui s'étendent sur 20 millions d'ha environ et constituaient autrefois l'essentiel de l'alimentation des cheptels, ont subi au cours des dernières décennies de fortes dégradations du fait de sécheresses répétées, d'une pression de pâturage de plus en plus élevée et de défrichements excessifsL’Algérie produit 2,2 milliards de litres de lait, mais 700 millions seulement sont collectés par les laiteriesLa production est atomisée dans un grand nombre d’exploitations ayant une très faible productivité. 2 Évolution du cheptel bovin en Algérie entre 2002 ± 2013 05 3 Réserves de lespèce bovine dans la wilaya de Tlemcen 05 4 Schéma descriptif d'une vache adulte 06 5 Répartition géographique des différents types du bovin local en Algérie 08 6 Race locale Algérienne. Ces deux années marquent une rupture dans la progression du cheptel constatée depuis 2014 : les effectifs s’élèvent au 1er mai 2018 à 19 millions de têtes, soit 470 000 bovins de moins qu’en 2017 et presque 600 000...Cette semaine, l’activité commerciale est assez régulière.