Le système de direction du véhicule fonctionne grâce à l’association de Sur les véhicules à quatre roues, tels que les voitures ou encore les fourgons, Voici la liste des principaux éléments qui composent le système de direction du véhicule  :L’action du volant dans le système de direction du véhicule est très importante, car elle permet de C’est grâce à cet élément que le mouvement est démultiplié entre la colonne de direction et la bielle pendante. De fait, plus le rayon de braquagedu véhicule est réduit, plus la conduite en ville ou sur des routes sinueuses est facilitée. En fait, le système de direction le plus répandu pendant plusieurs siècles fut celui où l'essieu directeur du véhicule est rigide et articulé autour d'un pivot central vertical : la « cheville ouvrière ». Trouvez le cour… Son action permet de relier l’axe de sortie du boîtier de direction à la barre de direction afin de continuer à En dépit des rotules qui se trouvent à chacune de ses extrémités, la barre de direction est libre en rotation. Pour améliorer les capacités d'évolution du véhicule classique à quatre roues, on imagina assez rapidement un système où toutes les roues seraient directrices et motrices. „Le train avant et le système de direction ont pour mission de permettre le braquage des roues directrices afin d’assurer le guidage et le contrôle du véhicule „Le train avant et le système de direction ont une géométrie qui doit permettre de: „Limiter la transmission vers le volant des chocs de la route. Le succès ne fut pas au rendez-vous car le comportement du véhicule fut considéré comme « déroutant » malgré ses qualités. Son fonctionnement réside dans l’association d’un système de vis sans fin à circulation de bille et d’une crémaillère. On obtient ainsi une orientation différenciée des roues arrière en appui dans un virage. Différents modes de couplage plus ou moins complexes furent utilisés. La direction d'une automobile, ou d'un véhicule routier en général, est l'ensemble des organes qui permet de modifier l'orientation de sa trajectoire et donc de prendre des virages. C'est également en faisant varier l'effort différentiel entre les deux côtés d'un véhicule que l'on fait tourner un véhicule à L'histoire de la direction est d'abord celle appliquée aux Pour obtenir un vrai système de direction, le choix d'une seule roue orientable a été fait assez tôt mais au détriment de la stabilité. On facilite donc les passages en courbe et l'assise du véhicule, mais aussi les manœuvres de parking et créneaux en donnant à la voiture un rayon de braquage incroyablement faible. En fait, elle permet de transférer l’effort de la bielle au levier d’attaque.Tous ses éléments sont reliés entre eux et ils permettent de finaliser le transfert de l’effort, initié par le volant, vers Depuis le début des années 90, de nombreux fabricants d’automobiles ont commercialisé des modèles dotés de Tous les usagers de la route doivent savoir comment fonctionnent les commandes de direction des véhicules, et surtout les candidats à l'examen pratique, afin qu'ils n'aient pas de mauvaises surprises le jour où ils devront Marianne Formation (marque commerciale « Ornikar »), SAS au capital de 15 687 €, immatriculée Ce systèmeUn autre système assez peu répandu consiste à avoir un véhicule articulé en son milieuLa direction à cheville ouvrière n'étant pas satisfaisante pour la stabilité en virage, l'idée de désolidariser les fusées des roues vu rapidement le jour, même pour les véhicules hippomobiles. Présentation crée par le Groupe de Travail EMILE à Lleida (Catalunya). Une direction traditionnelle à deux roues directrices comporte :

En virage, les axes des roues directrices se coupent au « centre Instantané de rotation » situé sur le prolongement de l'essieu arrière. La présente invention concerne un système de direction assistée de véhicule automobile, et plus précisément un système de direction assistée électrique, comprenant un moteur électrique d'assistance et des moyens électroniques de traitement agencés pour piloter le moteur électrique d'assistance, notamment en fonction de signaux électriques issus de capteurs. Les deux inconvénients sont la moindre stabilité en virage et l'espace important nécessairement laissé libre sous la caisse (ou le châssis).Direction par « articulation centrale » qui se rencontre particulièrement sur des véhicules de chantiers robustes, à deux ponts moteurs rigides.Appelé aussi épure d'Ackermann hors de France, en mémoire de Rudolf Ackermann (1764-1834) et de Charles Jeantaud (1840-1906).Du moins pour les utilisations routières pour lesquelles un rayon de virage trop petit serait dangereux.La législation impose la présence d'une liaison mécanique pour les véhicules routiers ordinaires. Certains tracteurs militaires de l'Les quatre roues directrices peuvent être braquées en sens inverse sur une même courbe (rayon de giration du véhicule réduit) ou dans le même sens : on dit que le véhicule « marche en En réalité, lorsque, par exemple, l'on braque un peu vers la droite, (ce qui se produit donc à vitesse dite « élevée »), les roues arrière braquent légèrement vers la droite aussi ; puis, lorsque l'on braque complètement à droite (ce qui se produit donc à vitesse dite « faible », lors de manœuvres), les roues arrière partent complètement vers la gauche. En 1991, Honda propose à nouveau ce système sur son coupé Le système avec électronique fait encore partie des options proposées par certains constructeurs sur des véhicules haut de gamme ou L'actionneur électrique et le calculateur fournis par AISIN permettent de faire tourner les roues arrière jusqu'à 3,5°.