Fête de l'abolition de l'esclavage en Martinique Le 22 mai1848, Victor Schœlcher a permis que soit signé le décret abolissant l’esclavage et la traite négrière dans les colonies. Cap sur la Martinique pour voir la vie en bleu...Un tour de la Martinique, à la découverte des multiples richesses de cette île...Toussaint et jour des défunts en Guadeloupe et MartiniqueROUTARD.COM n'est pas une agence de réservation ni un voyagiste.Des professionnels du tourisme ayant conclu des accords avec ROUTARD.COM permettent l’accès à leurs offres et prestations directement via le site, sans frais pour les visiteurs.Ces offres peuvent, selon les cas et afin d’améliorer l’expérience d’utilisation des visiteurs, apparaitre dans l’environnement ROUTARD.COM tout en étant néanmoins publiées sous les seuls contrôles et responsabilités de nos partenaires, ROUTARD.COM ne pouvant matériellement agir sur ces publications d’offres et les informations qui les accompagnent.Belle Martinique Peu après la colonisation, les esclaves ont été envoyés travailler dans les nouvelles plantations de sucre, et c’est toujours sur le dos des esclaves que l’industrie sucrière martiniquaise a prospéré pendant plus de deux cent (200) ans.Il y a eu de nombreuses petites révoltes d’esclaves en Martinique plus tôt, mais ce n’était qu’un début de rébellion finale. Ironiquement, cette dernière révolte a eu lieu après l’abolition de l’esclavage dans l’Empire français, mais le commissaire envoyé pour faire respecter l’abolition de l’esclavage n’était pas encore arrivé en Martinique.Une révolte a éclaté le 20 mai et le gouverneur n’a pas été en mesure de la réprimer. Deux jours plus tard, le 22 mai 1848, le gouverneur abolit l’esclavage pour mettre fin au chaos et aux effusions de sang.Aujourd’hui, la Journée de l’Abolition est d’une importance majeure en Martinique, d’autant plus qu’une grande partie de la population a des ancêtres qui ont été impliqués dans la révolte. Le 22 mai1848, Victor Schœlcher a permis que soit signé le décret abolissant l’esclavage et la traite négrière dans les colonies. Le 22 mai 1848 suite à une révolte des esclaves à Saint-Pierre réprimée dans le sang, l'ensemble des esclaves de l'île se révolte et conduit le gouverneur de l'époque à prendre la décision de l'application du décret. Le 27 avril 1848, Victor Schœlcher permettait que soit signé le décret abolissant l’esclavage et la traite négrière dans les colonies. Voici un court détail de la chronologie des événements du début de l’esclavage à l’abolition. Quant à Mayotte, l’histoire est plus surprenante: l’abolition de l’esclavage y est commémorée le 27 avril, mais non en souvenir du décret Schoelcher du même jour. La plupart des jours fériés en Martinique sont les mêmes qu’en France, mais celui-ci est unique.Les Français ont colonisé l’île de la Martinique vers 1635, bien que les Espagnols aient découvert l’île en 1502. Cette fête célèbre plutôt l'application effective du décret.Dans l’imaginaire collectif, la Martinique évoque immanquablement de magnifiques plages...Un coup de blues hivernal ? Dimanche 14 mai, la communauté antillaise des Bouches-du-Rhône a fêté la fin de l’esclavage.

C’est le 22 mai 1848, que les 60 000 esclaves de la Martinique se sont défaits de leurs chaînes, et de la servitude. Chaque 22 mai est le jour de l’abolition en Martinique, Cette journée marque la fin de l’abolition de l’esclavage sur l’île en 1848. Et une petite mise au point sur Victor Shoelcher, qui, clairement, ne fait pas partie de nos héros des esclaves en Martinique 1640 L’île Ironiquement, cette dernière révolte a eu lieu après l’abolition de l’esclavage dans l’Empire français, mais le commissaire envoyé pour faire respecter l’abolition de l’esclavage n’était pas encore arrivé en Martinique. De 1640 à 1848, les esclaves n’ont cessé de se révolter face aux maîtres blancs. Une révolte a éclaté le 20 mai et le gouverneur n’a pas été en mesure de la réprimer. Comme le 1er Mai et le 8 Mai, le 22 Mai est un jour férié en Martinique.

«Cela renvoie en fait au 27 avril 1846, où le baron Mackau abolissait l’esclavage à Mayotte, qui était alors vu comme un laboratoire expérimental», explique Myriam Cottias. C’est la raison pour laquelle, le 22 mai, est devenu à la Martinique le jour de la commémoration de l’abolition de l’esclavage.