Si tu veux couvrir de roses tous ceux que tu vois en gris Si tu es vraiment morose vient danser le sirtaki … Elle fut chorégraphiée par Giórgos Proviás (en)3. Les mouvements du Sirtaki sont exécutés sur trois ryth… L'idée de Kazantzákis est que son personnage se libère définitivement, s'individualise, il est finalement capable de transcender son expérience pour en faire un matériau littéraire.

Le sirtaki n'est pas une danse authentiquement traditionnelle : il fut créé en 1964 par Jean Vassilis (alias Jacques Suissa) qui en élabora la chorégraphie complète4,5,6. Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la C'est pour cette raison que le réalisateur a insisté sur la lapidation de la veuve, en faisant le point central de son film. Là où, dans le roman, le héros repart, il danse dans le film sur la plage avec Zorba. Zorba le Grec (Αλέξης Ζορμπάς / Aléxis Zorbás) est un film gréco-anglo-américain de Michael Cacoyannis, sorti en 1964 et adapté du roman de Níkos Kazantzákis Aléxis Zorbás (1946). Les cookies assurent le bon fonctionnement de nos services. LA DANSE DE ZORBA (Paroles: Françoise Dorin / Musique: M. Théodorakis, 1964) Dalida (France) Là-bas, Zorba, dans son pays, S'élance, il danse, le sirtaki Déjà, la joie conduit ses pas, Vient il nous tend les bras. En utilisant ces derniers, vous acceptez l'utilisation des cookies. Le sirtaki (sirtáki ou syrtáki1, en grec συρτάκι) est une danse populaire2 originaire de Grèce rendue célèbre par le film Zorba le Grec pour lequel elle a été créée. Si tu veux couvrir de roses tous ceux que tu vois en gris Si tu es vraiment morose vient danser le sirtaki … Paroles de la chanson La Danse De Zorba par Dalida Là-bas, Zorba, dans son pays, S'élance, il danse, le sirtaki Déjà, la joie conduit ses pas, Vient il nous tend les bras. Ne pouvant coucher avec elle, les hommes du village se vengent en la lapidant, comme un viol symbolique ne supportant pas l'enlaidissement que lui impose le réalisateur C'est pour les besoins du film qu'est créé le fameux Le film se termine différemment du roman de Kazantzákis, avec une fin plus ouverte. Le film au contraire identifie Basil et ZorbaCacoyannis considère que le roman de Kazantzakis est éminemment tragique : aucun personnage ne s'en sort ; l'amour et l'innocence sont détruits tandis que les méchants triomphent.